L’humanité traverse une période de fatigue collective. Qui pourrait ne pas ressentir cet épuisement face aux bouleversements en cours ? Les règles de ce grand jeu cosmique sont établies et immuables, et transformer le monde entraîne inévitablement des défis profonds.
Certains se détournent de cette vision d’un monde nouveau, d’autres souffrent dans cette transition, certains doutent des messages partagés, et d’autres encore critiquent ceux qui portent ce changement. Des pertes surviennent, des âmes choisissent de partir vers d’autres réalités, peut-être sans connaître la promesse d’un avenir harmonieux tel que celui envisagé par Gesara. D’autres s’accrochent de toutes leurs forces à l’ancien monde, où ils trouvaient un certain confort et des privilèges.
Au cœur de ce tumulte, ceux qui œuvrent pour l’éveil se trouvent confrontés à une multitude de situations complexes. Comment répondre à cette confusion ? Il ne s’agit pas d’effacer tout d’un coup, mais de reconnaître que certains prospèrent là où d’autres peinent. Spirituellement, la fin de ce cycle est perçue comme une libération, mais dans l’expérience humaine, les perturbations touchent tous les êtres.
Chacun joue un rôle dans cette grande œuvre de guérison, cherchant à restaurer une réalité plus alignée avec la nature divine et éternelle de l’humanité, bien loin du monde irréel imposé par le passé. Certains se sont éveillés tôt, d’autres s’éveillent maintenant, tandis que beaucoup restent encore dans l’ombre de l’inconscience.
Le résultat est une souffrance temporaire, palpable dans le présent, en attendant que les phases finales s’amorcent. Malgré l’ampleur et le caractère dramatique de ces événements, une essence de liberté commence à s’infiltrer dans les consciences, accompagnée d’une lueur de joie naissante. Cependant, tant que la phase finale n’est pas enclenchée, l’attente peut engendrer frustration et anticipation.
Chaque jour, les mêmes schémas se répètent, agrémentés de nouvelles variations. Encourager l’action collective semble parfois vain, car laisser le changement dépendre des initiatives individuelles peut prolonger la souffrance de ceux qui pourraient être soutenus et ramenés à l’équilibre avec les ressources disponibles.
Cette dynamique s’explique par la nécessité urgente d’éveiller émotionnellement ceux qui restent endormis. Mais les situations désespérées ne se résument pas à ce simple constat. Une vérité fondamentale persiste : la phase finale ne peut débuter sans une masse critique de consciences éveillées. Sans cela, tout peut encore échapper.
Cette question est cruciale, car le destin de ceux qui risquent de connaître une fin douloureuse, semée d’obstacles, est ce que l’humanité cherche à éviter à tout prix. Face à cette impasse, il faut reconnaître la réalité telle qu’elle est.
Pendant ce temps, des voix propagent des récits trompeurs, souvent malhonnêtes, accusant certains acteurs du changement. Ces propagateurs, parfois dangereux, doivent être écartés avec discernement.
La transition vers Gesara représente le grand tournant. En attendant, la vigilance reste nécessaire. Que ce message soit clair : malgré les obstacles, le chemin continue. La victoire appartient à ceux qui persévèrent dans la lumière.
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