Pourquoi il est essentiel de reconnaître la plasticité de votre vie ?
Rafraîchissement cellulaire
Ce qui m’a toujours fascinée, c’est le renforcement persistant et continu d’une vision d’une vie à sens unique, condamnée à une spirale de cycles courts menant à un déclin progressif. Cette programmation ancrée laisse peu de place à l’acceptation indépendante de l’idée que la vie est un éternel recommencement. La plasticité, dans ce contexte, peut être vue comme une pression sur le bouton de réinitialisation de votre chemin de vie et de vos choix. Aucune loi ne nous oblige à rester figés dans un état d’être particulier. La manière dont nous orchestrons nos vies de façon unique nous appartient entièrement.
La régénération cellulaire se produit en étapes complexes
Ce qui entrave notre capacité à remodeler nos vies, ce sont les croyances et perceptions renforcées sur ce qui est possible, non seulement pour nous-mêmes, mais pour les êtres humains en général. Votre vie est toujours à son commencement. Pourtant, pour beaucoup, chaque nouveau départ redémarre simplement le même programme de perceptions, basé sur des schémas obsolètes. Cela donne l’impression que rien n’a changé. En réalité, chaque instant est nouveau. Nos cellules se renouvellent constamment, nous permettant de fonctionner dans un corps entièrement renouvelé au fil du temps (ces cycles varient : jours, semaines, mois, années). Cette régénération cellulaire se déroule en étapes complexes à travers les réseaux du corps. Chaque souffle que vous prenez est nouveau ; il ne peut être répété, seulement recyclé. Nous sommes soutenus par un système en perpétuelle régénération, à l’intérieur et autour de nous.
Le récit culturel du déclin
Il est difficile pour beaucoup d’adopter une perspective qui s’écarte du récit culturel du déclin – l’idée que notre capacité à explorer, créer et nous transformer diminue avec l’âge. Au lieu de cela, l’attention est dirigée vers des filets de sécurité et des « stratégies de sortie ». L’accent sociétal sur la sécurisation d’un départ financièrement stable – via des assurances, des plans de retraite comme le 401(k) et la planification de fin de vie – devient presque un rituel quotidien. Cette planification, bien que pratique, renforce la culpabilité et l’anxiété liées à l’idée de manquer de temps, de ne pas en avoir fait assez ou de ne pas être prêt. Mais en serait-il ainsi si nous vivions avec un état d’esprit ancré dans la curiosité et la possibilité ? Si nous jouions dans la vie comme un enfant dans un bac à sable, revenant chaque jour pour construire quelque chose de nouveau, la créativité et la résilience pourraient-elles prendre le pas sur la peur et le déclin ?
Ces stratégies conventionnelles sont des expériences valables en elles-mêmes. Elles donnent naissance aux concepts d’assurance, de retraite et de protection financière. Elles ont du sens jusqu’à ce qu’un changement se produise – lorsque nous commençons à réveiller notre propre magie intérieure. Lorsque cela arrive, les conditions qui maintiennent le flux de la vie changent. Nos besoins peuvent être satisfaits au-delà de notre perception limitée de la monnaie. C’est nous qui nous détournons des réalités plus fluides, choisissant plutôt d’honorer des protocoles basés sur la peur et la finalité.
L’espace où nous pouvons créer à partir de « rien »
L’horloge. L’horloge. L’horloge. Ce murmure constant et silencieux suggérant que le temps s’épuise – que vous êtes trop vieux, ou que certains rêves ne sont plus viables. Mais si ces règles étaient illusoires ? Et si elles ne vous appartenaient pas au départ ? Cela pourrait sembler trop optimiste, mais la science de la vie suggère le contraire. En prenant nos distances avec ces prescriptions axées sur la survie, nous accédons à l’espace où nous pouvons créer à partir de « rien ».
L’hydrogène est un composant fondamental de toute vie. Il alimente la création de molécules comme l’eau et les composés organiques, et il est vital pour l’ADN et la santé cellulaire. Bien qu’abondant dans l’univers, l’hydrogène est assez léger pour s’échapper de l’atmosphère terrestre, tout en restant central à la composition chimique de tous les êtres vivants. Des recherches émergentes en biophysique et en biologie quantique suggèrent que l’hydrogène, en tant que conducteur principal d’énergie cosmique, pourrait jouer un rôle dans la matérialisation spontanée – un concept mentionné dans les textes anciens. Les traditions yogiques parlent de grands maîtres manifestant des objets à partir de l’« akasha » ou éther, potentiellement lié à la manipulation de l’hydrogène et des champs d’énergie subtils. Bien que spéculatif dans la science conventionnelle, ces idées reflètent une reconnaissance croissante que le mental et la matière ne sont pas séparés, mais entrelacés de manières que nous commençons à peine à comprendre.
Permettez-vous de garder la lumière allumée
Que ceci soit votre rappel : ne laissez pas l’âge, la peur ou le tic-tac de l’horloge devenir votre barrière. Signifiez à votre esprit, votre mental et votre corps votre intention de vivre davantage. Accordez à tout votre être la permission de garder la lumière allumée. Car vous êtes le gardien de la lumière dans votre phare. Et votre vie est toujours – juste à son commencement.
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