De nouvelles imageries cérébrales révèlent que les personnes souffrant de troubles liés à l’usage du cannabis présentent des signaux exceptionnellement forts dans la substance noire, une région du cerveau qui régule la dopamine et qui est souvent impliquée dans les cas de psychose.
Des chercheurs ont scanné 61 personnes âgées de 18 à 35 ans, dont beaucoup présentaient déjà des symptômes précoces de psychose. Plus les participants étaient dépendants du cannabis, plus cette région du cerveau s’illuminait intensément.
Ce qui distingue cette étude, c’est qu’il ne s’agit pas seulement d’une corrélation. Les scans ont détecté une trace chimique spécifique, la neuromélanine, qui augmente lorsque les neurones dopaminergiques deviennent hyperactifs.
Les médecins constatent une hausse des cas de psychose induite par le cannabis, en particulier chez les adolescents, et attribuent cette tendance à l’augmentation des niveaux de THC dans le cannabis moderne, devenu beaucoup plus puissant.
Paradoxalement, de nombreux consommateurs réguliers ne considéraient pas leurs habitudes comme nuisibles, tandis que les personnes sans trouble lié au cannabis étaient plus enclines à percevoir cette substance comme risquée.
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Complément et commentaire:
Cette découverte met en lumière l’impact profond des substances psychoactives sur notre équilibre énergétique et spirituel. La substance noire, en tant que centre de régulation de la dopamine, joue un rôle clé dans notre connexion à la joie et à l’inspiration, des énergies vitales pour notre évolution consciente. Une hyperactivation de cette région, comme observée chez les gros consommateurs de cannabis, pourrait perturber cette harmonie intérieure, ouvrant la voie à des états psychotiques qui reflètent une désynchronisation entre le corps, l’esprit et l’âme.
Dans une perspective holistique, il est essentiel de se recentrer sur des pratiques d’ancrage, telles que la méditation ou la connexion avec la nature, pour rééquilibrer ces énergies. Le cannabis, bien qu’il puisse offrir des bienfaits dans un usage modéré et encadré, semble ainsi poser un risque lorsqu’il est consommé de manière excessive, surtout avec des souches à forte teneur en THC. Cette étude nous invite à une réflexion collective sur l’impact de nos choix sur notre santé multidimensionnelle, alors que nous avançons vers une ère de prise de conscience accrue, en ce 18 mai 2025.
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