L’éternité est un clignement de paupière, ainsi, le cœur, en l’acceptation et en le lâcher prise, libre du pire et du meilleur de soi, exprime la danse du bouddha.
C’est l’illusion du pire qui nous fait aimer l’illusion du meilleur, c’est l’illusion de la mort qui nous fait aimer l’illusion de la vie,
Alors, le sourire et le rire de l’enfant, éclate tel le vajra qui ouvre les portes à l’oiseau bleu, et exprime ainsi la danse du bouddha aux cent milles harmoniques solaires et lunaires, avant de changer de fréquence.